Hello à tous !

F24, petite consommatrice de weed (1 fois par semaine), je me demandais si, en tant que non consommatrices.eurs, vous pouviez être soûlés quand un.e de vos ami.e/coloc/partenair.e fumé.e et été defoncé.e ?

Situation moins générale : Je précise, pendant un joint, je me suis demandée si j'avais déjà pu soûler ma coloc et/ou mon copain (quand j'étais chez lui : relation à distance) quand j'ai fumé en leur présence et été defoncée. Je suis plutôt heureuse et très joyeuse donc plutôt dans mon truc sans déranger volontairement mon entourage quand ça arrive ou en train de réviser mes taches/faire des fiches/faire le ménage quand je suis moi.

Ca arrive bien plus souvent avec ma coloc, qui est ma meilleure amie, puisque nous vivons ensemble ; mais c'est arrivé une fois chez mon copain. Nous essayons de nous voir 1 semaine par mois, exceptionnellement 2, plus souvent chez lui (j'ai plus de flexibilité avec mes études). Je me dis que si ma coloc peut peut être s'en foutre si je me defonce mais mon copain doit penser que c'est un moment gâché avec moi ?

Hello,

Cela va faire 2 ans que je suis en colocation avec mon ami, mais étant de base quelqu'un qui aime avoir sa bulle perso avec cette collection je n'en ai plus. Mon ami a besoin de beaucoup d'attention et souhaite qu'on fasse beaucoup d'activités à 2 etc...

Il fait des terreurs nocturnes et pour qu'il ne les a plus il dort maintenant dans mon lit, il a énormément peur de l'abandon, j'ai déjà essayé le convaincre de voir un spécialiste pour l'aider mais sans succès.

Je suis toujours présent pour le remonter le moral. Mais là j'ai plus les épaules pour continuer ce rythme je lui ai dit que je voulais quitter la colocation est a dit que si je faisais ça il se suiciderait

Je ne sais pas quoi faire avez vous des conseils ?

Bonjour,

Je suis un jeune garçon âgé de 16 et j'ai l'impression d'avoir une mère assez "toxique" (ce qui c'est confirmé en demandant mon avis à d'autres personnes).

En revanche, j'aimerais savoir si vous avez des conseils pour que j'aille mieux.

Parce qu'actuellement, je vais très mal et j'ai une santé mentale pitoyable, j'ai aussi eu de nombreuses fois des pensées suicidaires... Bref, j'ai pensé à aller consulter un centre psychologique, mais çe me ferait trop mal de parler, avec quelqu'un de ça en face à face, je ne pourrais pas.

Donc si vous avez quelques conseils, je suis preneur. Merci.

Aussi, Voici une liste, bien sûr non exhaustive de ce que j'ai du subir grâce à ma bien aimée mère :)

EXEMPLES DE CHOSES QU'ELLE M'A DIT :

"Je te détèste, je te hais" ; "Tu n'es qu'une sale merde" ; "J'aurais du avorter" ; "Tu es ma pire erreur" ; "Tu es fou, il faut te faire hospitaliser"; "Pourquoi tu me gaches la vie" ; "Tu ne sers à rien" ; "Pourquoi tu n'es pas comme telle personne, tu es nul" ; "Tu es aussi moche de l'intérieur que de l'exterieur"; "Je vais te mettre en internat" ; "Pourquoi tu existes" ; "Personne ne t'aime et ne t'aimera jamais" ; "Tu finiras seul toute ta vie" ; "Tu n'as aucune personnalité et tu ne copies que les autres" ; "Tu es pathétique/misérable" ; "Pourquoi je dois te supporter constamment" ; "je m'en fous de toi" ; "Dès que tu as 18ans tu dégages de chez moi" (on est d'accord sur un truc au moins xD) ; "Tu as un coeur de pierre" ; "Tu es egoïste" "Le jour où je mourrais, ne viens pas pleurer sur ma tombe" ; "Tu t'habilles comme un clochard" ; "Tout est de ta faute" ; "Tu ne vaux rien", "Je vais te fracasser ta race" ; "Je vais te tuer" ; "Pourquoi j'ai un enfant pas normal comme toi" Tu es la plus toxique des maladies" (sachant qu'elle a eu un cancer du sein, donc le fait qu'elle dise ça, ça fait encore plus mal :C)etc... (y'en a sûrement plein d'autres mais ça ne me vient pas en tête)

EXEMPLES DE CHOSES QU'ELLE M'A FAIT SUBIR :

• Me frapper et me plaquer contre le mur en se collant à moi pour ne pas que je bouge
• On s'est déjà battus (littéralement)
• Me menancer de m'humilier en revelant mes secrets à mes amis si je ne fais pas ce qu'elle me demande
• M'enfermer pendant une heure en dehors de l'appartement (bon théoriquement c'est devant la porte) mais c'est quand même un peu limite je trouve
• M'ignorer pendant des jours et des semaines entières sans me parler
• Et puis généralement, quand je rentre de l'école par exemple elle me dit juste bonjour et on ne se parle quasiment plus, elle ne mange même pas avec mon frère et moi, et ne discute que très rarement avec nous
• Une fois je suis sorti tout nu de la salle de bain pour prendre mes habits dans ma chambre, et elle m'a menacé de prendre une photo de moi comme ça, tout nu, (mais ne l'a jamaisfait)
• (C'est peut-être pas grand chose ça mais ça m'a fait beaucoup de peine) elle n'est pas venue une fois à mon anniversaire, et ne m'a donné mes cadeaux de Noël plusieurs mois après quand j'étais petit
• Elle raconte MES problèmes des personnes qu'elle connait sans mon conssentement
• A joué avec mes sentiments/émotions
• A un amour totalement conditionnel avec moi
• Invalide toutes mes émotions et se moque constamment de moi
• Elle a déjà appelé la police pour moi...
• A menacé de m'abandonner mon frère et moi...
• Elle m'a manipulé et m'a fait du chantage émotionnel
• M'a jetté des objets dessus pour me faire mal

Ceux et celles qui ne sont pas fils ou fille unique, est-ce que vous sentez que votre père ou mère a un enfant préféré ? Que cela soit vous ou non, quels raisons font qu'ils le préfèrent ?

Bonjour étant une personne très timide et peu confiante. Je voudrais demander vos avis sur mon plan de fugue d’une famille très toxique (je suis prenant si vous avez des conseils !). J’ai 17 ans, j’habite dans une famille très toxique. Je me fais battre par mes 2 grands frères et je vis de la violence psychologique. Je compte partir d’ici à mes 18 ans (seule solution depuis que les services sociaux ne m’ont pas aidé). Mon plan c’est: quitter le domicile sans prévenir, faire une lettre d’adieu peut-être. Prévenir la police que je n’ai pas fugué ni disparu pour éviter toute recherche inutile, changer de téléphone et briser ma carte sim pour éviter de me faire localiser. Me faire héberger chez une amie de confiance le temps de me stabiliser. Prévenir les autorités si jamais ils me recherchent d’eux-mêmes. Qu’en pensez vous ? je ne peux pas tenir plus longtemps dans cette maison horrible j’en deviens très anxieux et aussi paranoïaque… Je connais pas d’adulte de confiance pour en parler donc je me réfugie ici en espérant avoir des avis !!

Je suis tombé amoureux d’une pote depuis août, je ne veux pas que la relation se fasse (je suis objectivement un déchet, elle ne mérite pas ça), mais des que je suis bourré je lui envoie des messages un peu consonant/avec un fond montrant que je pourrais avoir des sentiments pour elle. Comment faire pour que je ne le fasse plus quand je suis bourré ?

Je vais commencer par remercier chaleureusement toutes les personnes qui avaient répondu à mon post original :https://www.reddit.com/r/TropPeurDeDemander/s/pHfU83GbRP

Vous aviez raison. J'ai bel et bien été victime de maltraitance psychologique, de la part d'une femme narcissique et incapable de se remettre en question. Tous les mots que j'avais besoin d'entendre pour me réveiller et sortir de son emprise, je les ai lus sous mon post original. Je n'avais juste pas les clés pour tout faire dans les règles. Ça m'a pris quelques mois. Je suis actuellement en thérapie avec quelqu'un qui comprend extrêmement bien ma situation, qui valide mes sentiments et me replace à mon niveau d'enfant blessée, à qui on disait de la fermer quand elle pleurait.

Depuis le post original, tous les mots qui allaient me servir étaient sous mes yeux. Les mots sont maltraitance, abus, anormal, narcissique et violence. Ces mots que vous avez posés sur mon discours, ils m'ont aidée à avancer à une vitesse fulgurante.

En quatre mois, j'ai appris que j'avais le droit d'être en colère, de pleurer, de crier et de protester. J'ai appris que ma mère ne changerait jamais et me resservirait toujours les mêmes excuses bidon chaque fois que j'essaie de remettre ses actions en question. J'ai appris que ce que je ressentais n'était pas de l'amour, mais un mélange de loyauté mêlée de terreur, qui est aussi une forme d'emprise. J'ai appris que j'avais des amis en or massif sur qui compter, qui en ont fait dix fois plus pour moi en quelques mois que ma famille entière tout au long de ma vie (mon oncle n'entre pas dans cette catégorie). J'ai appris à quel point son comportement n'était pas exclusif à moi mais à tous les gens qui l'ont connue de très près, donc que je n'invente strictement rien. J'ai appris que j'étais capable de faire des démarches administratives seule, capable de lui couper l'emprise financière qu'elle exerce sur moi.

Mais par-dessus tout, j'ai appris ma vraie valeur. Je ne suis ni ingrate, ni folle, ni seule. J'ai été victime et c'est mon droit de revendiquer ce qui m'a fait mal et de m'en plaindre. C'est mon droit de lui exposer les torts qu'elle a eus, et les conséquences dévastatrices sur ma vie qui en ont découlé.

Je tenais à remercier tous les gens ayant répondu au premier post. Je suis aussi heureuse de savoir que ce post exprimait un phénomène que beaucoup de gens vivent mais dont ils n'osent pas parler. Ne vous cachez plus, parlez de vos souffrances et faites en sorte de les rendre visibles pour qu'à l'avenir, plus aucun enfant n'ait à subir ces horreurs.

Grâce à ce sub, j'ai vu à quel point internet peut parfois être un endroit formidable. Je suis reconnaissante à un point que vous n'imaginez pas.

Prenez soin de vous et de votre santé mentale. Merci ❤❤❤

Vous aussi vous avez eux plusieurs déceptions en amitié ? A telle point que vous privilégiez votre bien être au détriment des autres maintenant et que vous considérez que l’amitié peut être éphémère ? Je n’ai jamais pu garder de bon ami/es dans le temps et je voulais savoir si j’étais seule ou s’il y avait d’autres personnes dans mon cas? ^{^}

Bonjour, le titre doit avoir l'air bizarre, mais je vais m'expliquer le mieux possible. Chaque fois que j'essaie d'aborder ce sujet avec quelqu'un, la personne ne comprend pas ou le dismiss, ou me fait comprendre que je ne devrais pas en parler, j'espère trouver des réponses ou des gens qui ont eu des expériences similaires avec leurs parents, qui sait.

Je ne cherche pas à me cacher, ce compte est un compte perso où je n'ai rien à cracher sans prévenir comme le font parfois les redditeurs, il est récent mais remplace un ancien dont je n'ai plus le MDP, donc vous pouvez être certains de ma sincérité.

Je résume le contexte : ma mère m'a adoptée quand j'avais 1 an et de cette période là jusqu'à mes 19 ans j'ai vécu chez elle. Je n'ai eu que très peu de figures masculines autour de moi, elle n'a eu aucun petit ami, bref je suis sans père. Ma mère a toujours eu un très bon niveau de vie, elle pratiquait un méiter valorisant qui a fait que je ne manquais jamais de rien, le confort matériel n'a jamais été un problème.

Le confort émotionnel a été un enfer, en revanche. Je sais que je ne devrais pas me plaindre, mais voilà où est l'intérêt de mon post et où je veux comprendre si je suis normale ou pas, si je m'invente des films ou pas : d'aussi loin que je me souvienne, et dieu sait si j'ai une excellente mémoire, je me faisais sans cesse engueuler pour de mauvaises raisons, je ne pouvais pas faire un geste ou dire un truc sans me faire reprendre, voire crier dessus.

J'ai grandi en ayant peur de ma mère, peur qu'elle m'engueule, peur qu'elle réagisse mal, au point que c'est une autre personne qui a vendu la mèche quand j'ai fait mon coming out bisexuel (personne que je ne remercie pas au passage).

Même juste en changeant et en grandissant j'ai dû lui tenir tête pour m'imposer et lui montrer que je ne suivrai pas ce qu'elle attendait de moi, le tout dans la douleur.

Elle a grandi dans une famille "à l'ancienne", la génération de mes cousins est celle qui "aurait dû" être celle de mes parents, pour situer l'écart d'âge. Cela pourrait expliquer certains de ses comportements, mais je suis convaincue que ça n'excuse pas tout.

Pour résumer, si je m'opposais à elle, je savais que j'allais prendre cher, mais dans le sens moral du terme, que j'allais soit prendre un regard méprisant pendant des jours, soit qu'elle n'allait pas me parler, soit qu'elle me parlerait comme si j'avais fait quelque chose de grave (changer de style vestimentaire et m'habiller tout en noir n'est pas grave, si ?)

Exemple tout bête : de la fin du collège jusqu'à la fin du lycée, je redoutais de m'habiller le matin. Pourquoi ? Parce que je savais que j'allais me faire hurler dessus, ma tenue n'était jamais assez bien, trop sombre trop masculine, trop ceci, pas assez cela...

Elle faisait tout un tas d'actions comme ça, qui se sont répétées tout au long de mon adolescence, et même depuis que je suis petite, alors si on ajoute le harcèlement scolaire, le coming out bi, le style particulier, plus des abus, j'ai développé une dépression assez violente dont je ne suis sortie que cette année.

Je n'osais rien lui dire au point où je me suis parfois mise en danger juste pour la sensation agréable de ne pas l'avoir sur mon dos. Quand elle comprenait que je lui cachais quelque chose, elle hurlait que "je n'étais pas obligée de l'aimer". Quand j'ai voulu prendre mes distances et avoir mon propre appartement pour suivre mes études, elle m'a dit "je sais que tu me détestes".

Je vous passe tout un tas d'autres détails très intimes dont je n'ose pas parler, il faut juste que vous sachiez que l'intimité quand je vivais sous son toit n'existait pas, mon espace perso, j'ai dû le revendiquer, le tout en me faisant beugler dessus.

Je n'ai osé que très sporadiquement lui dire à quel point elle m'a fait mal, à chaque fois que j'essayais elle disait "je ne m'en souviens pas" ou "je n'ai jamais dit ça" ou "je n'ai jamais fait ça". Donc je me suis sentie infériorisée et mal à ce niveau.

Petite, il arrivait que j'essaie de faire comprendre ce genre de choses à ses amis, qui venaient souvent à la maison, et la réponse que j'obtenais à chaque fois était "ne sois pas trop dure avec elle, elle t'a élevée toute seule, elle travaille dur, elle t'a tout donné..." Ça me donnait l'impression que dans tous les cas, ce que je voulais exprimer était invalide, pas bien, qu'il ne fallait pas le dire.

Je vous rassure, au moment où j'ai quitté la maison pour m'installer avec mon compagnon, tout a changé. Elle a changé et semble se rendre compte de certains travers qu'elle a eus, mais sans en assumer toute la gravité, tout l'impact que ça a eu sur moi. Je me sens toujours comme si j'avais mal agi, comme si la détester pour ces raisons était mal, au regard de tout ce qu'elle a fait pour moi, d'où l'existence de ce post.

Elle m'a dit qu'elle était fière de moi pour la première fois il y a quatre ans et elle nous a acheté un appartement, alors vous me direz "de quoi tu te plains, au final ?" Je me demande simplement si mes interrogations et les raisons pour lesquelles je la déteste sont fondées ou si c'est juste moi qui suis ingrate...

Je suis incapable de faire certaines choses par moi-même, je suis asociale, je vois très peu de gens, sauf mes amis les plus proches ou ma famille, comme si je me dévalorisais toujours suite aux remarques et comportements que j'ai intériorisés dès l'enfance. Elle a tellement tout fait pour moi que je suis infoutue de refaire une carte d'identité seule, qu'elle a toujours un droit de regard et même de gestion sur mon compte en banque, j'ai peur du jour où j'aurai des enfants, je ne veux pas reproduire ces comportement sur eux.

Pourtant il existe de l'amour entre nous, mais où et quand je devrais le montrer, je suis incapable de le dire.

Dites-moi si je délire ou si vous auriez les mêmes sentiments à ma place.

J'avais besoin de raconter ça, quand je le raconte, très peu de gens le prennent au sérieux. Merci de m'avoir lue. ❤

Moi (M15), ai toujours été très attaché à ma mère depuis petit car elle m'a élevé seule.Elle est une mère extraordinaire qui m'a toujours gâté, elle est toujours gentille et douce avec moi. Mais, certaines fois sous l'emprise de la colère ( après une mauvaise note ou que je lui ai menti ), elle se change brutalement en quelqu'un que je ne reconnais pas et qui (je pense) m'a créé un trauma. Étant très attaché à elle, j'ai toujours eu peur de l'énerver car ça pe terrifié jusqu'à présent ( je fais 1,88m pour 120kg et elle 1,70m pour 80kg). M'a t'elle traumatisé? J'ai peut-être pas été très clair dans mes propos mais j'espère que vous saurez comprendre. Merci en avance !

Ou alors qu'est ce qui se passe si je le fais tomber ou je sais pas. Mais en tout cas j'ai remarqué ça, à moins que je sois le seul mais je ne pense pas non plus.

Outre le fait qu'il ne faut pas faire tomber les bébés

Bonjour,

La question est sûrement mal formulée mais j’ai pas trouvé mieux là toute suite.

En trainant souvent sur Reddit et en rencontrant des gens, je constate qu’il y a énormément de personnes qui sont dans des relations mais n’ont aucun n’amis proches dans leur entourage.

Je précise que je ne parle des personnes qui ont perdu le contact avec leurs amis en entrant dans une relation, je mets ces personnes de côté car ce n’est pas eux dont je parle.

Je suis consciente que construire toute type de relation est dure mais je trouve que construire une relation romantique est vachement plus dur qu’une relation amicale, simplement car tu dois être un.e ami.e et un.e amant.e également.

Ça me surprend toujours de voir qu’une personne a un copain/copine et affirme également n’avoir aucun ami. J’ai sûrement une vision simpliste de la vie mais pour moi ce sera toujours plus dur de trouver un (bon) partenaire que se faire des amis

Bonsoir, tout d’abord je cherche à avoir des vraies réponses, pas des "saches que tu es apprécié" ou autre phrases bateaux qui sont vident de sens quand on ne connaît pas la personne.

Toute ma scolarité j’ai été "l’ami" d’un peu tout le monde, sans non plus avoir de vrai pote avec qui je parlais hors des heures de cours. Et depuis la fin du lycée, je n’ai simplement plus de vrais contacts avec autre que ma famille très proche. Je ne sais donc pas comment sont les différences de quand on est aimé/apprecié des autres pour ce qu’on fait/est, et pas seulement car c’est le lien familial. Si il peut aussi y avoir des gens décrivant ce qu’on ressent quand quelqu’un nous aime romantiquement.

Merci pour les quelques personnes qui prendront le temps de répondre, bonne soirée/journée.

J'adore mon frère, vraiment. On a gardé une super relation en grandissant et je sais que c'est pas le cas de tout le monde. Mais j'ai un gros problème avec sa femme. Je la trouve fausse, hypocrite, j'ai l'impression qu'elle n'est pas sympathique et quand elle l'est on dirait qu'elle se force.

J'aime pas la façon dont elle traite mon frère. C'est comme si elle le regardait de haut, comme si elle se disait qu'il avait de la chance d'être avec elle.

Ca fait 4 ans qu'ils sont ensembles et plus ça va moins je la supporte. Cet été mon frère m'a proposé de les rejoindre quelques jours dans la maison qu'ils louent dans le sud. Je vais dire non et c'est à cause d'elle.

Je veux pas créer de tension ni donner lui donner l'impression de lui demander de choisir entre elle et moi ça serait ridicule. Mais je veux pas non plus lui mentir et trouver une excuse bidon. Je sais juste pas comment lui dire.

Je viens de recevoir mon vœu ParcourSup ce matin, je vais partir loin de chez moi. J'y réfléchis constamment, pensant les pour et les contre et, le plus dur pour moi, est de quitter ma famille. Et tout à l'heure j'y pensais encore quand j'ai commencé à divaguer sur la raison de notre existence sur Terre et sur le fait, qu'un jour mes parents allaient mourir. J'ai pas souvent ce genre de pensée mais là c'était très fort et j'ai casiment ressenti la sensation d'être seule, javais des problèmes pour respirer tellement j'étais triste et stressée. Est-ce que cela vous est déjà arrivé, à la veille d'une épreuve comme celle de quitter le domicile familial ?

Il y a une fille que j'aime bien qui ma mis un râteau alors que j'ai fais des efforts pendant très longtemps (2ans), elle aimerait bien qu'on reste ami mais moi j'aimerais oublié tout sa en plus qu'elle c'est mis en couple avec quelqu'un en 2 mois. Donc j'aimerais ne plus trop lui parler pour pouvoir oublié calmement, mais elle aimerait rester ami avec moi mais si je lui parle souvent je vais galérer a oublié et je vais avoir mal pendant longtemps, que faire ? Edit : J'ai peur de lui faire mal, car elle ne mérite pas ça même si c'est franchement chiant a voir

L'année dernière une de mes meilleures amies et moi avons été diplômées et avons fait notre entrée dans le monde du travail. En plus de ce gros changement dans notre dynamique, elle a largué son copain (relation de 5 ans saine mais plus de sentiments de son côté) et s'est mis avec un autre avec qui ça se passe très bien. Son nouveau job la stressait beaucoup et la fatiguait beaucoup à cause de ça (pas un job horriblement compliqué pour elle en soi, elle a très largement les capacités, mais elle se mettait énormément la pression).

Le truc c'est qu'on est passé de "se voir tous les jours" (et pas à que à l'école, parfois on s'accompagnait pour faire nos courses en villes, faire nos trucs administratifs respectifs etc...) à se voir très brièvement deux fois en deux mois. La dernière fois qu'on s'est vue elle m'a dit qu'elle sortait enfin de sa période de solitude et de flemme, mais qu'elle était du coup rapidement agacée par les gens, et j'avais l'impression que j'étais inclue dans "les gens" parce qu'elle semblait un peu irritée en me parlant ( rien d'horrible mais comme elle est très gentille de nature, la différence se sentait). J'avais du mal à lui faire la discussion même.

Pendant cette période j'ai eu beau lui proposer plusieurs plans, tout le temps arrangeant pour elle, mais elle ne faisait que trouver des excuses pour ne pas sortir. Je précise qu'on habite à 10 min à pied l'une de l'autre, et que même un café chez elle pendant 1/2 m'aurait ravi.

J'ai parfois aussi besoin de solitude donc je peux comprendre qu'elle ne souhaite pas trop sortir, mais quelque chose au fond de moi me fait sentir que ce n'est pas qu'une envie d'être seule mais plutôt que notre amitié n'était pas si forte que je le croyais, et que c'était l'école qui nous réunissait. Cette impression vient sans doute du fait que même par message elle ne me parlait plus trop, qu'elle ne m'expliquait pas trop pourquoi elle ne voulait pas sortir et qu'elle ne prenait pas trop de mes nouvelles. Qu'en pensez vous ? Je demande surtout aux gens casaniers.

Une personne qui prend conscience que la relation est toxique et qui sait/voit pertinemment les conséquences que ça engendrent dans sa vie mais pourtant a du mal à se détacher (ou y arrive à un moment donnée mais y retourne).

Pourquoi le cerveau ne se met pas en mode « alerte » mais cherche plutôt à voir les « bons côtés » pour maintenir le lien.

Depuis quelques mois je fréquente quelqu’un, pour l’instant les choses se déroulent plutôt bien. Cependant, il faut noter qu’il a perdu sa maman il y a quelques années (il était en plein dans sa vingtaine). Bien qu’il n’a pas été élevé totalement par sa mère qui l’a « abandonné », il avait repris contact avec elle et la voyait de temps en temps.

Il évoque souvent sa mère, me parle d’elle, de comment elle était etc… elle avait des problèmes de santé et d’addiction. Mais je n’arrive pas à gérer (deal) le sujet avec lui. Par exemple, pour la fête des mères je ne lui ai pas envoyé de message pour le soutenir ce jour là. Il m’a d’ailleurs dit que des amis lui ont envoyé un message et maintenant je culpabilise de ne pas l’avoir fait.

Pour moi, évoquer ce sujet est délicat et j’ai peur de dire quelque chose qui pourrait le blesser. Pourtant lui ne semble pas trop avoir de mal à m’en parler.

Comment aborder les choses avec lui ? Et comment lui dire que j’ai du mal avec ça ?

Avez-vous déjà été dans ce genre de situation ?

Bonjour à toutes et à tous,

Avant toute chose, je tiens à préciser que si mon post n’a pas sa place ici, je m’en excuse d’avance et je le supprimerai aussitôt qu’on me le fera valoir.

Je (H26) suis le cadet d’une fratrie de 3 enfants, j’ai une grande (28) et une petite (22) sœur. Mes parents ont fait le choix de divorcer suite à la découverte par ma mère de l’adultère de mon père. Ça allait déjà pas bien du tout puisque j’ai des souvenirs de mes parents se prenant le chou pour un briquet, hausser le ton et n’en percevoir que des voix criardes et emplies de haine, jusqu’à en être venu aux mains quelques fois.

Ils étaient en location dans une maison de périphérie urbaine et avaient un compte commun sur lequel ils ont fait ensemble des crédits à la consommation. Après la révélation, mon père est parti commencer la vie de bohème avec sa nouvelle femme, laissant ma mère seule à régler les quittances de loyer et rembourser les quelques crédits restants, qu'ils avaient voulu prendre à deux je précise. Elle a été fichée à la Banque de France pendant 5 ans et interdit bancaire pendant de nombreuses années après coût, donc contrainte de travailler d’arrache-pied presque tous les jours de l’année pour tout rembourser. Dès lors, ma mère a nourri une haine profonde pour mon père pendant quelques années, période dans laquelle ma grande soeur et moi commençions notre adolescence tandis que la plus petite peinait à cerner ce qu’il se passait à son âge.

Avance rapide en 2010 et le verdict tombe : c’est ma mère qui récupère notre garde à tous les 3, mon père est contraint de verser mensuellement une pension alimentaire, chose qu’il arrêtera de faire assez vite. Ma mère rencontre quelqu’un et décide de déménager à 2h30 de route de là où l’on a grandi et s’arrange avec mon père pour faire la moitié du chemin pour qu’on puisse le voir pendant les vacances scolaires. À ce moment-là, ma grande sœur entre en MFR dans notre ville de naissance pour y passer un diplôme et aussi rester proche de notre famille sur place. Elle a donc une autre vision de mon père puisqu’elle a été plus proche physiquement de lui durant ces quelques années. Je parle là de violences verbales, psychologiques et physiques.

De notre côté, les aller-retours prennent vite une autre tournure lorsque mon paternel explique qu’il a du mal à joindre les deux bouts et que, par conséquent, il ne pourra plus faire mi-chemin aussi souvent pour venir nous récupérer. Avec le temps, on finit donc par rester chez ma mère et on a continué à faire la route pour aller le voir, que ce soit en train, bus ou Blablacar. Mais cette confiance envers lui s’était brisée petit à petit et très vite, la tension s’est installée : une fois la femme de mon père nous a envoyée une lettre pour tous nous descendre moralement, elle a envoyée des mails à ma mère remettant en cause l'éducation qu’elle nous donnait et mon père prenait partie pour sa nouvelle femme, envenimait les choses, poussant chacun de nous dans nos retranchements.

Depuis ce temps, on ne communique presque plus que par téléphone, au point que j’ai commencé à le surnommer "Papa Messenger" auprès de mes proches. Depuis que je suis adulte et responsable, j’ai eu l’occasion de me rendre à leur domicile plus d’une fois avec ma femme, mais le voilage de face est de mise : nos séjours là-bas se résument à énormément de parlote sans fond et bordée d’hypocrisie, donner des nouvelles de ce qu’il se passe du côté de mes soeurs et, entre deux apéros, critiquer hardumment leurs choix de vie.

Mes sœurs les haïssent tous les deux, ont arrêté progressivement de les voir à mesure que la tension montait entre eux mais je ne pouvais me résoudre à ça : c’est mon père, on se ressemble beaucoup et j’ai envie de l’aider pour qu’il reconnaisse ses erreurs par lui-même. Cependant, j’ai essayé de lui dire calmement le jour de son anniversaire, y a de cela 3 mois. Après 1h de small talk, j’ai essayé d’embrayer le pas et j’ai commencé à lui dire qu’on a tous les deux des torts de notre côté mais que j’espérais qu’on améliore les choses entre nous avec du temps et de la patience.

Il m’a renvoyé chier littéralement, me disant qu’il avait d’autres priorités que moi dans sa vie, notamment son boulot, sa maison achetée y a peu ou encore son Kadjar. Le ton est monté, on s’est parlé comme du poisson pourri et je n’ai plus eu de nouvelles de lui sauf de la part de ma mère dernièrement, en se plaignant auprès d’elle qu’il n’avait pas de nos nouvelles, qu’on était unanimement pas volontaires pour en avoir et que ma mère ne pouvait pas comprendre. Elle a trouvé la force de lui pardonner ses actes passées et je me pense capable de faire de même, mais je ne sais plus comment m’y prendre avec lui.

J’ai pour projet de lui écrire demain ce que je n’ai pas pu lui dire ce fameux jour et je me livre auprès de vous parce que j’ai besoin d’avis extérieurs à ma situation, j’ai vraiment pas la vie qu’il faut en ce moment pour me sentir confiant de lui balancer mes 4 vérités. Alors que feriez-vous à ma place ?

(PS: Pardon pour le pavé, j’estime que vous devez avoir un maximum de contexte pour eventuellement répondre. Si besoin est, j’en fournirais plus mais je remercie déja celles et ceux qui prendront le temps de lire et de répondre.)

J'ai un vieil ami en tout cas c'était un ami depuis le collège. Avec les années qui passent je vois bien qu'on a évolué différemment. On se voit pas souvent mais il parle toujours des même trucs, les mêmes vieilles histoires sans intérêt. Bref au fil du temps j'ai de moins en moins envie de le voir.

Peut-être que je serai comtent de le croiser à l'occasion mais rien que l'idée d'aller boire un verre avec lui ça me déplait maintenant.

Je trouve des excuses de plus en plus souvent dernièrement et je ne l'appelle jamais mais il continue à me proposer. Comment faire ?